Mon engagement à l’Assemblée nationale pour:
Les Français de l’étranger
- Vaccination
- Crise sanitaire : aides sociales (avril 2020), stratégies vaccinales (février 2021)
- Conseillers des Français de l’étranger
- La situation politique en Colombie (mai 2021), au Chili (février 2021), Brésil (juin 2020)
Des lois plus adaptées aux évolutions technologiques
- Règlement général sur la protection des données personnelles
- L’utilisation des technologies par les pouvoirs publics
- Le numérique : grand absent de la loi Climat !
- Reprendre le contrôle des réseaux sociaux
Des sujets de société et d’avenir
Une nouvelle manière de faire de la politique
Regagner la confiance des citoyens est indispensable pour lutter contre l’antiparlementarisme. Ainsi, pour favoriser l’information et la transparence autour de mon travail parlementaire, je partage mon agenda quotidien en ligne et publie en open data l’utilisation de mes frais de mandat. J’œuvre, par ailleurs, au développement de la démocratie numérique et de nouvelles formes de participation citoyenne.
Vous pouvez ainsi voir :
- toutes les réunions que j’ai avec mon équipe, avec mes électeurs, ou avec les lobbys ;
- mon activité à l’Assemblée nationale, mon rôle dans les commissions ou en auditions ;
- mes déplacements internationaux.
La transparence de l’utilisation des frais de mandat est souvent un sujet qui cristallise l’opinion publique. Dans cette optique, la loi pour la confiance dans la vie politique, promulguée en septembre 2017, a introduit des obligations pour améliorer la transparence et la confiance vis-à-vis de l’utilisation de l’argent public.
Depuis le début de ma mandature, parce que je suis redevable envers les citoyens par rapport à l’usage de l’argent public, je publie l’utilisation de mes frais de mandat AFM en open data, qui se monte actuellement, comme pour tous les députés, à 5 840 € bruts mensuel. L’extrait de mes comptes et donc publié ici.
Depuis janvier 2019, l’article 3 de l’arrêté du Bureau n° 55/XV du 7 novembre 2018 pose le principe selon lequel tout député est tenu d’enregistrer, annuellement, les dépenses qu’il règle selon un plan de classement normalisé.
Avec mon équipe, nous avons donc développé un outil de visualisation des dépenses de frais mandat qui se base sur ce tableau Excel.
Je tente actuellement de convaincre mes collègues député.e.s d’utiliser cet outil en les accompagnants dans la prise en main très simple de l’outil.
Afin d’enrichir mon action législative et retisser le lien entre citoyens et élus, j’ai mis en place une plateforme de participation citoyenne. Sur cette dernière, vous pouvez :
- poser votre question citoyenne au Gouvernement, par l’intermédiaire des député.e.s ;
- débattre des questions posées ;
- voter pour les questions que vous trouver les plus pertinentes.
Mon activité en vidéo
Je me suis exprimée lors de la discussion générale, dans le cadre de la 2e lecture du Projet de loi constitutionnelle complétant l’article 1er de la Constitution et relatif à la préservation de l’environnement.
Je me suis exprimée lors de la discussion générale, dans le cadre de la 2e lecture du Projet de loi constitutionnelle complétant l’article 1er de la Constitution et relatif à la préservation de l’environnement.
Je me suis exprimée lors de la discussion générale, dans le cadre de la 2e lecture du Projet de loi constitutionnelle complétant l’article 1er de la Constitution et relatif à la préservation de l’environnement.
Je me suis exprimée lors de la discussion générale, dans le cadre de la 2e lecture du Projet de loi constitutionnelle complétant l’article 1er de la Constitution et relatif à la préservation de l’environnement.
Je me suis exprimée lors de la discussion générale, dans le cadre de la 2e lecture du Projet de loi constitutionnelle complétant l’article 1er de la Constitution et relatif à la préservation de l’environnement.
Je me suis exprimée lors de la discussion générale, dans le cadre de la 2e lecture du Projet de loi constitutionnelle complétant l’article 1er de la Constitution et relatif à la préservation de l’environnement.
Je me suis exprimée lors de la discussion générale, dans le cadre de la 2e lecture du Projet de loi constitutionnelle complétant l’article 1er de la Constitution et relatif à la préservation de l’environnement.
Je me suis exprimée lors de la discussion générale, dans le cadre de la 2e lecture du Projet de loi constitutionnelle complétant l’article 1er de la Constitution et relatif à la préservation de l’environnement.
Jeudi 18 février 2021, j’ai pris la parole sur la discussion générale relative à la Proposition de loi « Aide individuelle à l’émancipation solidaire »
Les réflexions sur un revenu universel sont réapparues avec la crise, comme un outil pour en limiter les dégâts. Jusqu’alors vu comme une douce utopie, l’idée que la société puisse assurer à chacun le minimum pour vivre décemment et se réaliser a pris forme.
Le travail n’est plus corrélé à un statut. Temps partiel, autoentrepreneurs, micro-travail, chômage de masse, économie non marchande : le salariat à temps plein n’est plus la mesure de toute chose.
Le revenu universel peut nous permettre par ailleurs de développer cette « société du soin », de l’attention à l’autre et à ce qui nous entoure, dont nous avons cruellement besoin.
Je veux parler de la jeunesse. Tous ont en partage aujourd’hui un quotidien fait de restrictions. Ils souffrent et nous le disent. Les queues s’allongent aux points de ravitaillement alimentaire. Les doutes et les angoisses de l’avenir se font criants.
Sur la proposition du RSA moins de 25 ans : je tiens à rappeler que la France est l’un des derniers pays d’Europe avec le Luxembourg, l’Espagne et Chypre à ne pas ouvrir ses minima sociaux dès 18 ans !
Deux conceptions de la jeunesse s’affrontent. Une qui saurait ce qui est bon pour elle, à sa place. Une autre qui lui fait confiance pour savoir ce qui est bon pour elle. Qui lui dit : « Tu n’as pas à avoir peur de ton avenir. Construis-toi comme tu le souhaites : nous serons là ».
Ceux qui ont confiance dans la jeunesse forment un bloc humaniste, social, progressiste qui n’est pas réductible au jeu partisan qui mais doit savoir se rassembler le moment venu. Et le moment est venu aujourd’hui en votant pour le RSA moins de 25 ans.
- Retour en France (motifs impérieux)
- Stratégie vaccinale
- Paiement des pensions
Le 2 décembre, j’ai organisé une conférence en ligne avec des militantes associatives colombiennes sur la situation des femmes. L’Ambassadrice Delphine O en charge de la diplomatie féministe, ainsi que l’Ambassadrice de la Colombie en France Viviane Morales nous ont fait l’honneur de leur présence.
Retrouvez le compte rendu de cette conférence où nous avons abordé la question de la précarité économique, des politiques de lutte contre les féminicides ainsi que de la place particulière des Femmes colombiennes dans le processus de paix.
J’ai remis, jeudi 9 janvier 2020, au Gouvernement mon rapport « Quantique : le virage technologique que la France ne ratera pas ».
A cette occasion, Mme la Ministre Florence Parly, M. le Ministre Bruno Le Maire, Mme la Ministre Frédérique Vidal et M. le ministre Cédric O ont annoncé la création d’un groupe de travail constitué des représentants de l’Etat et de ses opérateurs de recherche (CEA, INRIA, CNRS) et financiers (BPI, SGPI). Il sera chargé d’élaborer, dans le cadre du Pacte productif de la loi pluriannuelle de programmation de la recherche et du Programme d’investissement d’avenir (PIA), une feuille de route détaillée, permettant de répondre aux recommandations du rapport. Cette feuille de toute détaillée, attendue pour le premier trimestre 2020, précisera le programme de travail sur cinq ans de chaque ministère et opérateur, ainsi que les sources de financement étatiques, privées et communautaires du plan quantique.
J’avais été missionnée par le Premier ministre en avril 2019, aux côté de Jean-Paul Herteman, Président d’Honneur du GIFAS, Président-directeur général, du Groupe SAFRAN, et Iordanis Kerenidis, Directeur de recherche au CNRS.
Hier soir, dans le cadre de l’étude du Projet de loi relatif à la lutte contre le gaspillage pour une économie circulaire, mon amendement sur l’#opendata des informations environnementales des produits a été adopté en Commission Développement Durable de Assemblée nationale.
Un bel exemple de donnée d’intérêt général : réutilisation pour recherche, études d’impact ou applications pour un choix responsable du consommateur !
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Mardi 19 novembre 2019, j’ai participé à l’émission, organisée par BFM Business et la Maïf, sur le sujet en apportant notamment mon expertise sur les solutions à mettre en place et sur la manière donc cette problématique doit s’intégrer aux programmes éducatifs.
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L’ordinateur quantique arrive ! C’est un changement de paradigme avec la promesse d’une puissance de calcul phénoménale. Cette nouvelle technologie constitue cependant une sérieuse menace sur la sécurité de nos communications en ligne. Quel réel impact pour les industriels ?
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Mercredi 9 octobre 2019, je suis intervenue à la Commission des Lois de l’Assemblée nationale, avec mon collègue Philippe Gosselin, pour faire un bilan sur l’application de la loi relative à la protection des données personnelles (RGPD), pour laquelle j’avais été rapporteure.
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Présentation de mon initiative Parlement-ouvert.fr qui a pour but de moderniser l’Assemblée nationale avec : plus de transparence : http://agenda.forteza.fr, http://irfm.forteza.fr ; plus de participation des citoyens : http://questions.parlement-ouvert.fr ; plus d’expérimentation : https://parlement-ouvert.fr/fr/.
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Quelle est la situation des femmes dans cette région ? Comment les autorités apportent une protection suffisante ? Par quels moyens les féministes se font-elles entendre ? Autant de questions sur lesquelles nous avons voulu apporter un éclairage et une réflexion lors d’une conférence que j’ai organisée à l’Assemblée nationale, mercredi 18 septembre 2019, sur l’évolution et les enjeux des droits des femmes en Amérique latine. Voici mon discours de clôture.
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